Un glissement s’y opère ces dernières années. Les espaces verts vont permettre de passer de la « ville nature » à la « ville vivante ». En effet, on avait une vision de la ville fonctionnaliste dans les années 1960 avec des espaces verts partout comme le voyait Le Corbusier : l’espace vert était l’espace de loisir par prédilection. Actuellement, on assiste à une écologisation des pratiques de gestion des parcs et jardins.
C’est cette évolution que Claire Tollis et Marion Erwein se proposent d’étudier, dans ses débats, ses mises en oeuvre et ses conséquences.
Marion Erwein a travaillé pour cela sur la ville de Genève en Suisse tandis que Claire Tollis a travaillé sur la ville de Grenoble, notamment le Parc de la Chartreuse.
Voici le plan suivi par la conférence :
I/ Mettre les insectes à contribution, de l’approche biocide à l’approche bio-contrôle
II/ « Optimiser les ressources managériales » grâce à l’intelligence végétale
III/ Le vivant, un travail pour faire la ville
Ce compte-rendu pourra être utile pour le chapitre « Ville et développement durable » en 2de par exemple, dans une logique de débat et d’analyse du rapport de l’homme à la nature dans la ville de l’établissement de l’élève.
Photo tirée de l’exposition « Ville-Nature » à la Cité de l’architecture et du patrimoine en 2011 à Paris. Quelle est la place de la nature en ville ?
Une autre vision de la nature en ville : une horloge dans le parterre fleuri devant l’Hotel de Ville de Versailles :
Compte-rendu de la conférence en format PDF :